Voulez-vous vraiment vous-y connaître en spiritualité ??
Alors, lisez attentivement ceci
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Définition des concepts indispensables :
-. Prêtre/prêtresse : homme ou femme dévoué(é) au service des "Dieux". Ils se consacrent souvent à une seule manifestation divine et l'on a ainsi des prêtres d' Horus (le Dieu de la vision donnant l'inspiration aux voyants,visionnaires, prophètes,philosophes, sorciers,mages,shamans, magiciens, devins,et autres sans distinction de religion, de race,de sexe,d'ethnie,etc...),des prêtres d'Apollon (Dieu soleil,Lissa chez nous) ou des prêtres d'Aphrodite (Déesse de l'amour et de la fertilité) depuis les temps immémoriaux jusqu'à aujourd'hui. Ils peuvent être au service d'une communauté de fidèles et leur tâches peuvent inclure l'entretien des temples, des autels, l'accomplissement des sacrements, la direction et la présidence de rîtes et rituels,de conseils pastoraux, etc... Parfois, ils canalisent l'Esprit de la divinité qu'ils servent,lui servant de voix.
Depuis 322 après JC, Constantin 1er le Grand s'est approprié le terme " prêtre " à d'autres fins,jusqu'à nos jours...allez-y voir quelque chose..... !!!
-. Sorcier/sorcière : on appelle ainsi les personnes possédant une sorte de pouvoir surnaturel leur permettant d'exercer une influence magique,occulte et mystique sur leurs contemporains et le cours des choses. Beaucoup s'affole à l'utilisation de ce terme car lui donnant une connotation généralement négative, laissant supposer l'exercice de pouvoirs maléfiques ou "Noir".
-. Vizir: ce titre est donné au premier ministre et premier conseiller du roi dans les royaumes Arabes. Il signifie littéralement " porteur de fardeau".
Le vizir le plus célèbre de l'Égypte ancienne s'appelait "Imhotep" (2635-2595 av JC). Il fut le conseiller du Pharaon "Djoser" et le premier magicien que le monde ait connu. Par glissement sémantique ce titre désigna souvent un magicien de cour lorsque ce dernier était aussi célèbre pour ses pouvoirs que ses conseils, tel "Merlin".
-. Sage: un sage est une personne d'âge avancé ou non dont la capacité de réflexion et l'expérience lui permettent des jugements approfondis et éclairés.
Pierre Corneille l'a dit: " aux âmes bien nées la valeur n'attend point le nombre des années ". Par conséquent, des savants, des sachants,des experts,des chercheurs, des philosophes et des érudits tels que "Socrate" ou "lao-steu" (c.600-300av JC) qu'ils sont des sages. Faire preuve de sagacité veut d'ailleurs dire faire preuve de sagesse. Bien que ce terme de sagacité s'emploie plus volontiers pour les hommes,certaines femmes de bon conseil se définissent ainsi,sachant que jadis le terme "saga" désigne une "sorcière".
Mystique : du mot antique kamite (Africain) " mystai"qui veut dire quelqu'un qui a été initié aux mystères secrets. On appelle mystique une personne ayant vécu de profondes expériences spirituelles ou relatives aux "autres mondes", qui lui ont permis d'acquérir une compréhension profonde et intuitive de vérités cachées et qui ont grandi sa conscience du monde. De telles expériences sont le plus souvent indispensables et donc au delà de l'entendement rationnel.
-. Mage: synonyme de magicien,surtout si ce dernier exerce une influence bénéfique. On substituera souvent le terme de "magus à mage" pour signifier que ce dernier a atteint un niveau d'excellence dans la pratique de son art. Autrefois, les "magi" étaient des prêtres zoroastriens, originaires de Média et de la Perse (aujourd'hui Iran). Ce mot a servi de racine à notre terme de magie. Dans son acceptation moderne,mage désigne un magicien sage et puissant.
-. Magicien : désigne tous ceux qui pratiquent les arts magiques. Il s'agit aussi bien des prestidigitateurs qui créent de parfaites illusions et semblent accomplir d'impossibles exploits que des magiciens de cérémonie dont le but est d'accomplir des rituels visant à modifier des états de conscience.
-. Enchanteur: de l' anglo-saxon "wizard : " le sage"individu maîtrisant parfaitement les US et coutumes ainsi que les arcarnes de la connaissance. C'est aussi un praticien hors pair de tout ce qui a trait à la magie.
-. Devin: "celui qui dit la vérité". Un terme ancien désignant les prophétes,les visionnaires, les voyants et les diseurs de bonnes aventures et qui pourrait s'appliquer pour quiconque prédisant l'avenir.
-. Voyant : ce terme date du 14e siècle et veut dire " celui qui voit".
Un voyant est une personne dotée d'une perspicacité exceptionnelle qui lui permet de prédire des évènements à venir et leurs implications. On peut utiliser ce terme pour quiconque pratique la divination,particulièrement celle effectuée à partir d'Oracle.
-. Prophète : est normalement prêcheur inspiré par l'Esprit Divin et prenant la parole en son nom. C'est un grand enseignant dont les prêches et les révélations ont marqué durablement les sociétés auxquelles ils appartiennent.
-. Païen : personne embrassant la religion païenne. Adjectif dérivant du nom "paganisme" signifiant "d'origine rurale". Cette pratique est un syncrétisme de plusieurs courants spirituels issus des traditions du monde antique ( Égypte antique, Grèce, Empire romain, etc,,) et des cultures animistes. On dit souvent des païens qu'ils sont adeptes de " la vieille religion "en référence à l'ère pré-chretienne. Ils sont en effet animistes (tout est vivant),panthéistes(tout est Divin),polythéistes (plusieurs divinités) et croient que tout est interdépendant et transcendé par le Divin.
Ils prônent la diversité,le souci du travail bien fait et de l'écologie, la liberté et la responsabilité individuelle, la parité entre les hommes et les femmes.
-. Shaman ou chaman : Ce sont de chefs spirituels des cultures tribales traditionnelles, également appelés hommes et femmes médecine. Leurs domaines de compétences concernent aussi bien les arts de la divination que la connaissance des plantes,les techniques d'hypnose, le travail psychique, et la pratique de la sorcellerie. Parfois, ils portent le titre de ", médecins sorciers". Ils officient souvent au sein de leur village comme enseignants,magiciens, guides spirituels, guérisseurs et sages femmes. Leurs maîtrise des états de conscience altérés (souvent provoqués par l'utilisation de plantes médicinales sacrées) leur permet d'exercer un pouvoir sur les phénomènes psychiques et d'effectuer des va-et -vient entre ce royaume et celui des esprits. Ce terme est d'origine sibérienne et s'applique surtout aux hommes-medecine de cette contrée,du Tibet, de la Mongolie, du pôle nord.
Êtes-vous assoiffés de connaissances ?
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Comment le Fâ (la géomancie universelle) a-t-il pénètré au Danxomè ?????
-. L'itinéraire du "Fâ" au Danxomè !!
Sur un cheval roux,Ie Fâ pénétra au Danxomè et prit racine en 1729!!!
À cette époque-là, le roi Dossou Agadja règnait sur le royaume de Danxomè.
Une sécheresse sévère s'était abattue sur le royaume. D'autres calamités étaient aussi observées : les vaches,lorsqu'elles portaient,mettaient bas les chevreaux mouraient,les poules étaient devenues stériles. Le roi avait fait appel à tous ceux qui, dans le Royaume ou en dehors, étaient connus des ressortissants comme détenteurs des sciences occultes, ceux-là qui pouvaient lire,prédire ce qu'il fallait faire pour apporter quelque soulagement au peuple et à son roi.
Aucun d'eux,n'avait réussi à faire tomber la moindre goûtte d'eau d'un ciel brillant,pratiquement sans nuage. Une chaleur torride sévissait aussi. Dans cette situation, le monarque eut vent de la présence d'un personnage en pays Yoruba. Mais, comment localiser une telle personnalité dans ce vaste espace? Avec le désespoir dans l'âme, face aux souffrances imposées à son peuple,il lança son fils Dako à la recherche du sauveteur. Le jeune homme partit. C'était l'aventure, la vraie,celle qu'on entreprend sans boussole, sans carte,ayant pour seul compagnon, le destin. Dako arriva en pays Yoruba ; il y séjourna trois bonnes années. Il se familiarisa avec la langue Yoruba, se fit quelques amis. Il s'informait des personnalités du pays Yoruba ; puis arriva à en localiser une à "Tchékpétéli" dans un faubourgs de "Ilè-ifè". Il s'y rendit,se fit héberger, observa pendant un bon bout de temps,presque quatre lunes les mouvements vers les personnalités qui drainaient une foule impressionnante. Les efforts qu'il faisait pour l'approcher ne produisirent d'effet que des semaines plus tard. Il finit par se faire remarquer. Il fut enfin invité par cette personnalité que les gens approchaient avec beaucoup de vénération. Il exposa ses problèmes avec tellement de talent que,pris de compassion,le célèbre " Babalao" décida de se rendre au pays du roi Agadja pour résoudre un problème qu'il considérait un peu comme un défi.
Bernard Maupoil,dans son livre : "la géomancie à l'ancienne côte des esclaves", avait précisé que le fameux Djissah se prénommait " Adélèyè". Le roi Agadja,son fils Dako, les dignitaires à cette époque, s'étaient à peine souciés de connaître le nom d'origine de leur bienfaiteur. Peu importe,
Les grandes âmes sont souvent mues d'une générosité déconcertante. Le célèbre Babalao, ayant mis de l'ordre dans ses affaires, partit avec Dako sur son propre cheval. Reviendrait-il jamais ??
Au bout de quatre jours, ils arrivèrent aux abords de Cana. Signalons en passant que "Cana" fut et demeure le fief d'origine des rois de Danxomè.
Ce jour-là, il y avait effervescence à Cana. Le roi Dossou Agadja offrait des sacrifices à ses Ancêtres,toujours pour conjurer le sort et pour solliciter la Clémence des défunts, s'ils étaient éventuellement fâchés contre lui. Du hauts de l'estrade de branchages dressée à cet effet (atô),des dignitaires aperçurent le cheval sur lequel étaient deux hommes, l'un très jeune et l'autre, dans la force de l'âge portant des balafres sur les deux joues. Ils reconnurent Dako. Ils soufflèrent l'événement à l'oreille du roi. Celui-ci,surpris et bouleversé,descendit précipitamment de l'estrade, violant ainsi un principe intangible. Il ne pouvait plus y remonter. Cependant, il eprouva, comme poussé par une force étrange,le besoin de solliciter la permission de l'étranger comme si celui-ci représentait les ancêtres qui,seuls,pouvaient l'autoriser à remonter. L'étranger lui accorda cette dérogation accompagnée de bénédictions et de vœux de succès. En attendant, on l'installa chez "Gbèlo". Il passera quatre jours à Cana, pensant aux perturbations que la prolongation de son séjour causerait à ses affaires au pays.
Au quatrième jour, le monarque, sa suite, Dako,l'étranger et son cheval prirent le chemin de Danxomè. À peine installé, le roi lui fit part de ses préoccupations, de ses soucis et de ses problèmes. Celui-ci étala " Ie Fâ ",l'interrogea avec le balancement d'un chapelet de coques de fruits et interpréta : "le pays est aux mains de Mion Nan(redoutables sorcières).
Il faut leur donner rapidement à manger. Faute de quoi,un grand incendie se produirait,qui brûlerait tout et pourrait même emporter le roi. Par contre,si on accélérait les sacrifices, la grâce ancestrale,la paix,descendraient sur le Royaume et une grosse pluie s'ensuivrait". Le roi accéléra les préparatifs. Un gros orage s'abatit sur le royaume et l'Eau ruissela abondamment. L'étranger, ce jour-là, reçut une imposition de nom: " Djissah". Ce surnom est resté jusqu'à ce jour. Agadja, dès l'instant, conçut le secret souhait de ne plus laisser repartir un si merveilleux, un si précieux compagnon. Il l'installa non loin du palais,le dota de serviteurs et de servants, de richesses variées et lui envoya une épouse, de quoi le fixer définitivement dans Danxomè. Son épouse mit au monde trois filles, des triplées. Selon les traditions, elle venait d'acquérir le statut de reine et ne pouvait plus franchir le même portail que son Mari. Ce dernier dut déménager pour aller s'installer en un lieu où poussait un grand arbre de néré. Là, réside la dynastie de Djissah, jusqu'à ce jour. Il est dénommé "Ahouaga", à Danxomè. Ainsi, les " Djissah"ont une demeure à Cana et deux à Agbomè.
Le roi Agadja,son fils Dako, les dignitaires à cette époque, s'étaient à peine souciés de connaître le nom d'origine de leur bienfaiteur. Peu importe, Djissah implanté à Agbomè et cela suffisait. Adélèyè dit Djissah devait constituer son équipe à Agbomè. Nous retrouverons leurs descendants dans les collectivités qui portent leur nom. La tradition Fâ est enracinée chez les Djissah. C'est pourquoi, nous pensons qu'il constitue une dynastie. Cela avait commencé en 1729. On était au 18e siècle. Trois siècles déjà!
Parmi les serviteurs,Djissah en repéra cinq: "gongon boco", " atô boco", "abikobi", " lanhoussi"," gléssougbé".
-. Gongon: a été surnommé ainsi parce qu'il avait la fâcheuse tendance d'exiger plus qu'il n'en faut pour les offrandes. Il prétextait que c'était la seule manière de nourrir les familles puisque l'équipe de Djissah était au service du roi,et que le roi ne payait rien pour les services rendus.
-. Atô : un gros travailleur, un peu loubard mais intelligent pour interpréter les messages, c'est lui qui va déposer les "Vô" (offrandes) aux différents endroits.
-. Lanhoussi: intelligent, habile,capable de devenir Babalao,il fut initié plus tard.
-. Gléssougbé : lui aussi était capable de devenir Babalao. Plus âgé que lanhoussi,il était chargé de lui apporter l'aura de crédibilité qui manquerait à son aspect trop juvénile.
Tous dans la tradition,sont Babalao (Bokonon) mais ils n'ont pas les mêmes degrés de compétences et n'assurent pas les mêmes fonctions.
Adélèyè dit Djissah avait constitué cette équipe avec un secret dessein: pouvoir revoir sa Terre natale,sa famille et sa clientèle. Le roi à dessein,créait des occasions pour retenir Djissah à ses côtés. Jour après jour, semaine après semaine, mois après mois et année après année, Djissah perdit espoir, laissa tomber ses illusions. Il mourut et fut inhumé à Ahouaga où l'on peut retrouver sa sépulture. Il laissa, admiré et respecté, certains rois le connurent sous un autre surnom :"Baba Akandohoun"( celui qui a laissé sa marque après la consultation) que Agadja lui avait donné après le surnom populaire "Djissah".
Maitre spirituel Doutê zonon dignitaire du vodoun
Le Vodoun est une spiritualité:
Le monde spirituel vit en nous. C'est trop peu de dire que nous vivons dans un monde spirituel.
La spiritualité précède la vie;elle est la matrice de la vie. Toutes les vies:aérienne, aquatique, terrestre,non seulement proviennent d'elle,mais surtout restent une partie intégrante d'elle.
A longueur de jour et de nuit,dans nos langages,nos gestes ou nos rêves, qu'on s'en aperçoive ou non,nous faisons usage de la spiritualité, nous vibrons la spiritualité et elle vit en nous.
Par contre,la religion est en dehors de nous en restant un besoin pour contenir notre agressivité innée. Par conséquent, ces religions d'apparition récente sont créées pour contenir cette agressivité. De toutes les créatures de dieu,seul l'humain est capable de méchanceté sans raison. Par contre,les animaux ne sont pas capables de méchanceté sans raison. Ils pratiquent la spiritualité tous. C'est pourquoi nous disons que le diable est dans la religion et le criminel en prison.
Une religion est une religion qu'elle soit exogène (en dehors de nous) ou endogène (en nous),elle est un besoin de l'homme et ne précède pas la création de l'homme. Toute religion à un prophète. Au contraire, le Vodoun n'a pas de prophète, il précède à la vie;à toutes les vies.
Le Vodoun est une spiritualité pratiquée par toutes les vies aériennes, végétales, animales ou humaines.
Ramener le Vodoun à une religion est une dévaluation et une dégradation préoccupante. Le Vodoun est l'espoir des hommes et de l'humanité sans distinction de sexe,de race,de religion.
Seul le Vodoun : la spiritualité peut nous ramener l'harmonie entre les corps physiques et les corps subtils afin de rétablir l'équilibre nécessaire pour conduire le monde et les hommes vers une humanité meilleure et plus éclairée.
Nos grands dignitaires hounnongans,hounnons hautement spirituels,nos vodounnongans et bokonons détiennent dans leurs mains les semences ,les rites,les symboles pour ramener cette harmonie dont le monde a besoin.
Dans ce monde en pleine mutation,ce monde à la croisée des chemins,nous devons à la réalité de reconnaître que les religions ont raté leur finalité.
Nous vivons l'agressivité partout. On tue au nom des religions. L'homme du 21e siècle ne sait plus où il en est,et se trouve au promontoire de l'inconnu. Ce siècle devra être spirituel si nous voulons un avenir pour notre planète. Pour ce faire,unissons nos efforts,mettons fin à nos divergences afin de jouer pleinement notre rôle de mères des vies et des civilisations. Face à ce défi, les spiritualistes de tous bords doivent affirmer leur volonté.
Le 21e siècle est spirituel qu'on le veuille ou non si nous voulons un avenir pour notre planète.
À ce sujet, le Bénin,siège universel du Vodoun,siège universel de la spiritualité a un rôle de premier plan à jouer.
Il reste évident dès lors que le Bénin ne cherchera pas une émergence mais un développement rapide permanent et durable.
À titre informatif :
Le code de vie d'un authentique adepte initié:
-. Un initié devrait être capable de toujours garder la maîtrise de soi;
-. De partager sans contrainte ;
-. De maintenir propre son environnement ;
-. D'être maître de son destin;
-. De créer un espace sacré ;
-. De respecter les croyances et les vérités d'autrui ;
-. De prendre soin de lui;
-. De travailler efficacement avec ou sans l'aide de la magie ;
-. De relever les défis sans perdre confiance en soi;
-. De composer de la musique et des oeuvres artistiques ;
-. De vivre sur terre de façon responsable;
-. De savoir aussi bien prendre la parole qu'écouter ;
-. De faire preuve d'un bon jugement;
-. D'assumer des responsabilités ;
-. De faire preuve de gentillesse;
-. De créer un rituel;
-. D'écrire des poèmes ;
-. De gérer un budget ;
-. De construire un mur;
-. D'aider ceux qui en ont besoin;
-. De réconforter les mourants;
-. De respecter des consignes;
-. De donner des ordres;
-. De faire taire son égo ;
-. D'agir seul ou au sein d'un groupe ;
-. De résoudre des dilemmes;
-. D'analyser un problème nouveau;
-. De travailler dans la joie même pour réaliser les travaux les plus anodins;
-. De programmer un ordinateur ;
-. De cuisiner de façon saine;
-. De se battre efficacement;
-. D'éviter les conflits entre sorciers;
-. De cultiver un esprit généreux;
-. De vivre en brave et de mourir avec élégance et de laisser l'élitisme à ceux qui manquent de confiance en eux.
Et par dessus tout,un initié se doit de se connaître lui-même et d'avoir conscience de ses faiblesses et de ce qui l'anime,car dépourvu de cette connaissance, il ne saurait être un véritable adepte initié.
À lire et à relire si vous voulez vraiment garder intacts vos pouvoirs dans notre panthéon.